Comment trouver le bon appartement sur Toulouse ?

Le territoire de la grande métropole toulousaine regroupe plusieurs pôles industriels dans différents domaines. Ce sont, notamment, la médecine, les nouvelles technologies, et surtout l’aéronautique et l’aérospatiale.

Ces sociétés et industries, en plus de la qualité de vie qui y règne, constituent les principales raisons qui attirent de plus en plus de travailleurs et étudiants venant des quatre coins du monde.

Les statistiques font un état annuel de 15 000 nouveaux arrivants pour cette dynamique technopole. D’après des études réalisées, l’indice de tension immobilière est de l’ordre de 30%. Ce qui veut tout simplement dire que par rapport à l’offre, la demande de logement y est 30% supérieure.

Toutefois, les professionnels de l’immobilier affirment que, malgré cette situation qui pourrait être considérée comme alarmante, l’offre arrive à satisfaire pleinement cette demande soutenue.

Quel appartement choisir et où ?

La ville de Toulouse propose une large gamme de logements, parfaitement adaptée aux besoins et à la situation de tout le monde. Le choix va du studio aux hôtels de luxe.

L’hyper centre et le centre-ville ancien sont les quartiers privilégiés de la grande majorité des acquéreurs, à cause de leur forte demande locative. Ce sont surtout les petites surfaces qui sont les plus recherchées.

Au cas où les recherches sont orientées vers la location, il faut savoir que le prix du mètre carré y est plutôt élitiste. En effet, il tourne autour de 4 500 euros. On peut dire, sans aucune hésitation, que ce secteur est le préféré de ceux qui souhaitent devenir propriétaires et faire de la gestion locative sur Toulouse.

Effectuer une prospection au niveau des différents quartiers de Toulouse

Le quartier Saint-Cyprien, situé sur la rive gauche de la Garonne, constitue également un secteur très demandé. Après une profonde rénovation, cet ancien quartier pauvre est devenu une ville à part entière.

Désormais, il possède son propre marché sur la place de la République, ses commerces localisés le long de son avenue principale et ses squares, comme la place du Ravelin. Ce rajeunissement a un impact sur le prix des logements, qui sont, maintenant, identiques à ceux de l’hyper-centre.

Pour les autres secteurs de la ville, les quartiers de Saint-Michel et Rangueil, qui, de par leur position, attirent également de nombreux investisseurs. Ils se trouvent dans les environs du centre-ville, et sont reliés au pôle universitaire scientifique.

Cette liaison constitue un point très rassurant pour les potentiels acquéreurs. Toutefois, ces derniers ne s’intéressent qu’aux nouvelles petites surfaces bien préservées, dont le prix au mètre carré est entre 2 700 et 3 000 euros. Leurs principales cibles sont les étudiants très nombreux à Toulouse.

Le prix des anciennes constructions non entretenues et datant des années 1 960 ont connu, quant à eux, des fortes dépréciations. Elles se vendent, à l’heure actuelle, à moins de 2.000 euros le mètre carré.

Par ailleurs, les Chalets et Saint-Aubin sont deux quartiers très côtés, grâce aux nombreux appartements et maisons de ville qui y sont érigés. Le prix des biens immobiliers dans le quartier des Chalets, favorisé par une plus forte densité de la population, est un peu plus cher, en comparaison de ce de son voisin où le mètre carré se vend à 4 200 euros.

Pour Saint-Aubin, ce sont plutôt les petites surfaces bien placées qui sont les plus prisées, et l’essentiel de l’offre varie entre 3.000 et 3.200 euros le mètre carré.

Les environs de Toulouse à l’honneur

La situation très tendue du marché immobilier de la capitale de la région du Languedoc profite énormément aux communes avoisinantes. En effet, les acheteurs sont beaucoup plus motivés à s’éloigner pour avoir plus surface.